Bienvenue sur Mes Carnets de Recettes où j'envisage de regrouper toutes mes recettes préférées. Gastronomie française évidemment, mais pas seulement ...
Coutumes et traditions A chaque époque, ses mœurs et ses habitudes en matière de façon de prendre ses repas. "Dîner autrefois : de l'art singulier de passer les plats ..."
Le site La France Pittoresque a trouvé un article publié dans un ancien livre, "Musée universel", paru en 1874, matière à évoquer des usages fréquents en ces temps.
"Il fut un temps où, dans les dîners en ville, la mode de faire circuler les plats à la ronde et d’offrir à chaque convive tout ce qui paraît sur la table, usage qui semble indiqué par la plus simple politesse, n’était pas de mise"
Pour en savoir un peu plus : Quelques auteurs ont produit des livres sur le sujet. Sur à consulter. Vous pourrez en découvrir mon autre blog "On ne lit jamais trop..."
Les volailles d'autrefois ont été oubliées, mais un éleveur de Bligny-sur-Ouche, en Côte-d'Or, les remet au goût du jour dans sa ferme, sa table d'hôte et jusque dans les plus grands restaurants. Ses volailles vivent dehors, en liberté par tous les temps, et en deviennent rustiques, résistantes, presque sauvages. "Celui-là est un jeune coq Barbezieux, qui est très jeune, très beau, qui vient d'être mis en production", indique Sylvain Przybylski, ouvrier agricole à la ferme de la Ruchotte.
Six races différentes
La Barbezieux est une volaille de grande taille, l'une de ces races anciennes qu'élève Frédéric Ménager. Elles portent souvent le nom de la ville dont elles sont originaires : Barbezieux, Le Mans, La Flèche et parmi les plus anciennes, on trouve la Gauloise dorée. "Celle-ci, sa particularité réside dans le fait qu'elle serait la race européenne la plus ancienne. On peut imaginer quand on les voit, qu'elles sont éventuellement les poules que Jules César a vu quand il est arrivé chez nous", évoque Frédéric Ménager.
La ferme a le label Agriculture biologique car tout y est produit sur place. La ferme de la Ruchotte produit 1 500 volailles par an, de six races différentes, toutes anciennes.
Une visite des différentes races de coqs et de poules françaises :
Les légumes de printemps sont déjà là Cet hiver aura été le plus doux jamais observé. Un climat qui bouleverse l'arrivée de certains légumes, comme les asperges qui arrivent avec un mois d'avance.
L'asperge pousse en Alsace, dans les Landes et bien sur en Camargue. Surnommée, la reine des sables parce qu'elle pousse sous la terre, l'asperge est de moins en cultivée en Camargue. Sa production nécessite trop de main d'oeuvre, ce qui augmente les coûts. Dans la région, la production a été divisée par dix en 30 ans.
Pour tout savoir sur l'asperge,
plante légumière connue depuis l'Antiquité, réputée pour ses bienfaits pour la santé. Consultez le site de France 3 Nord Pas-de-Calais Matin :
Savoir choisir son asperge : elle doit être ferme, cassante, bien blanche et avec les « écailles » à son sommet bien refermées.
Pour ne pas dénaturer son goût et ses qualités, encore faut-il faire attention à la cuisson : 6 à 7 minutes dans de l’eau salée, afin qu'elles soient encore un peu al dente. Après, et comme souvent, libre court à son imagination ! Ce qui va faire apprécier l’asperge en cette saison, c’est surtout sa douceur, sa tendreté et la délicatesse de son goût. Elle fait partie des mets les plus fins. Donc simplement accompagnée d’une vinaigrette « à la flamande » elle sera parfaite ou encore dans une version plus élaborée… avec un peu de crevettes grises pour rappeler la côte d’où elle est issue.
LES ASPERGES A LA FLAMANDE
Pour 6 personnes.
24 asperges blanches, 6 cuillères à soupe d’huile d’arachide, 6 cuillères à soupe d’huile d’olive, 4 œufs durs, 3 cuillères à soupe de vinaigre, 1 cuillère à soupe de moutarde, 1 bouquet de persil plat, ciboulette, estragon, oseille, Sel et poivre.
Peler légèrement les asperges, les ficeler en bottes et cuire à l’anglaise – eau bouillante salée – jusqu’à ce qu’elles soient al dente (piquer avec la pointe d’un couteau pour vérifier la cuisson). Les égoutter et réserver sur un papier absorbant.
Écaler les œufs durs et les écraser à la fourchette. Ajouter la moutarde et fouetter. Ajouter le vinaigre, les huiles puis les herbes hachées. Rectifier l’assaisonnement.
Dresser sur des assiettes chaudes les asperges encore tièdes et napper avec la sauce.
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[Mise en ligne le 3 sept. 2010 Le Tour de France de Ferniot - Asperges à la Flamande
Les recettes les plus simples sont souvent les meilleures... quand elle sont dispensées par les grands chefs. Pierre Wynants qui a eu 3 étoiles à Bruxelles pendant plus de 25 ans nous donne ses trucs pour les asperges.]
Le chou de Pontoise, un légume en or Tombé dans l'oubli, un producteur lui a redonné une nouvelle vie. Il est désormais dans les cuisines de grands chefs étoilés.
Comme il aime à le dire, Laurent Berrurier est né dans les choux. C'est au milieu d'habitations qu'il cultive son héritage, le chou de Pontoise. Encore récolté à la main, ce chou réserve bien des surprises gustatives. "Ce chou il est vraiment exceptionnel. Les feuilles sont très douces. Souvent les choux que l'on trouve, les hybrides, sont un peu acides quand on les mange, mais celui-là il est vraiment très doux, la feuille est très fine et il y a une petite sucrosité que vous ne retrouverez sur aucun chou", explique le maraîcher. Laurent Berrurier est aujourd'hui l'un des derniers à en posséder la souche pure. Il cultive lui même ses semences et pratique une agriculture raisonnée. L'insecticide n'intervient qu'en cas de problème, en dernier recours. Il cultive ainsi 8 000 choux par an.
Pari gagnant
Dans les années 80, face à la grande distribution et l'urbanisation à outrance, de nombreux agriculteurs vendent leurs terres. Le chou de Pontoise tombe en désuétude, Laurent Berrurier songe même à renoncer mais résiste. Un pari gagnant. En 2009, sa rencontre avec le chef Yannick Alleno marque un tournant. À l'époque, le chef étoilé est en quête de produits oubliés du terroir parisien. Ensemble le maraîcher et le cuisinier testent des nouvelles recettes. Le chou de Pontoise inspire le grand chef. Yanick Alleno ne tarit pas d'éloges sur ce chou et en parle comme d'un grand vin. "Il est rustique, profond, a du caractère et a une place importante dans l'assiette. À la limite la volaille sera l'accessoire du chou", estime le chef étoilé. Aujourd'hui Laurent Berrurier fournit les tables de 130 grands chefs parisiens.
un reportage vu au J.T. 13H de France 2, le 22 février 2016.
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Une recette de volaille avec le chou de Pontoise Volaille à la bière du Gâtinais et moutarde de Meaux – Chou Pontoise Ingrédients pour : 1 poulet du Gâtinais, 2 cuillère à table de moutarde de Meaux, Huile d'olive 75 ml de bière du Gâtinais, 3 échalotes pelées et coupées en deux 1 chou de Pontoise, 2 gousses d'ail (ou 1 d'ail éléphant) émincées, Herbes salées, 3 grosses tomates, Feuilles d'estragon frais, Thym frais, Temps de cuisson : 2 heures 30 Préparation de la recette Badigeonner le poulet de moutarde de Meaux et le faire dorer dans un rondeau avec un peu d'huile d'olive, puis réserver. Monder, évider et concasser les tomates. Enlever les premières feuilles du chou, le couper en quartiers, retirer le cœur, le laver au vinaigre, puis l'émincer grossièrement. Disposez dans une cocotte les ingrédients suivants: choux émincé et échalotes, ail émincé, le poulet saisi, quelques pincées d'herbes salées (au goût), les morceaux de tomates puis la bière, couvrir et poser au four resté froid. Allumer le four à 180 °C et laisser cuire pendant 2h, en ouvrant une ou deux fois pour tourner le poulet. Puis incorporer du thym et de l'estragon frais au goût, baisser le feu à 150 °C et poursuivre la cuisson 30 minutes, ou jusqu'à ce que la chair du poulet soit tendre à votre goût. Pour servir, disposer le chou dans une assiette, mettre un peu de sauce au fond, dresser un morceau de poulet et servir. Une recette d'Emmanuel Fournis et de son équipe CFA Alexis Tingaud.
À la découverte du business du cake design Le cake design connaît un succès grandissant dans l’Hexagone. Mais de quoi s’agit-il ?
A la découverte du business du cake design [Francetv info Mis à jour le 20/02/2016 | 23:24, publié le 20/02/2016 | 23:24] Le "cake design" connaît son heure de gloire. Le but ? Réaliser les gâteaux les plus fous, les plus grands, les plus créatifs, les plus personnalisés. Son nom vient d’Amérique. Il s’agit d’un gâteau muni d’une décoration poussée à l’extrême. La tendance envahie la toile. On ne compte plus les blogs qui montrent comment faire le sien à la maison. Quand on aime, on ne compte pas La recette est simple : des oeufs, de la farine, du sucre, de la crème, mais l’ingrédient qui fait toute la différence, c’est la pâte à sucre. Et le challenge peut parfois coûter très cher : 2,5 euros les 100 grammes de pâte à sucre, et de la pâte, il en faut beaucoup. Comptez entre 100 et 150 euros pour un gâteau à deux étages. Les Français et les Françaises sont de plus en plus toqués de ces drôles de gâteaux. Les cours se multiplient et ne désemplissent pas. Pour six heures de cours, 150 euros. Beaucoup sont prêts à le dépenser pour le plaisir des yeux. Les pâtissiers professionnels s’y mettent donc à leur tour. Plus qu’un gâteau, c’est quasiment devenu un outil de marketing pour les chefs d’entreprise.
Francetv info
Mis à jour le 19/02/2016 | 17:10, publié le 19/02/2016 | 15:21
En raison de la météo, les salades poussent plus vite que prévu et les consommateurs ne suivent pas, ce qui représente un manque à gagner pour les producteurs. Dans les Pyrénées-Orientales, la perte pour les maraîchers se chiffre en millions d'euros. "Chaque fois qu'on met un coup de couteau pour couper une salade, je perds 10 centimes d'euros", explique l'un d'eux. Dans ce département qui est d'habitude le jardin de la France en hiver, les maraîchers vendent à perte.
La concurrence espagnole
Le temps clément a favorisé la concurrence, et les producteurs souffrent encore de la baisse de consommation suite aux attentats de novembre. "Pendant quinze jours, trois semaines, les attentats ont entraîné une chute des consommations. Chez nous, quand les cours baissent, ils sont très très durs à remonter", rapporte Pierre Batlle, le président des "Jardins du R oussillon".
Triée, lavée, une salade revient à 50 centimes alors qu'elle est vendue à peine 40 aujourd'hui. Le secteur souffre aussi de la concurrence des voisins. Côté français, la main d'œuvre coûte entre 13 et 14 euros par heure, tandis qu'en Espagne elle n'est qu'à 4 à 5 euros. En 30 ans, le département a déjà perdu 80% de ses maraîchers.
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Pour vous inciter à consommer plus de salade verte :
Feuilleton : à la découverte de la Coupe du monde de la boulangerie (5/5) Cette semaine, les journalistes de France 2 suivent l'équipe de France des boulangers en pleine Coupe du monde à Paris.
Pour son feuilleton hebdomadaire, France 2 a suivi l'équipe de France des boulangers, qui tente de décrocher le titre mondial. Après une compétition éprouvante, Déborah est heureuse de retrouver sa sœur et sa meilleure amie. Les familles ont attendu le jour du palmarès pour venir. Les supporters de Taiwan se voient au sommet du palmarès. Il faut dire que le pays a apporté un soin particulier à sa pièce artistique avec son œuvre évoquant le baseball, un sport très pratiqué dans le pays.
Les Français déçus
Au moment du palmarès, l'amoureux de Déborah est lui aussi dans le public. La France obtient la 3eme place du podium. Taiwan est deuxième et la Coupe du monde de la boulangerie revient finalement à la Corée du Sud, dont l'archer a séduit le jury. Déborah et ses collègues ne cachent pas leur déception. En tous cas, chacun est soulagé après trois jours de compétition. Hilio, le candidat hollandais, est heureux de retourner auprès de sa famille.
Dans la petite ville médiévale de Bruges (Belgique), le temps semble s'être figé. Les calèches côtoient les quelques rares voitures qui circulent encore. Le charme de cette ville attire chaque année plus d'un million de visiteurs.
50 chocolateries
Bruges est surtout composée de quatre kilomètres de canaux qui traversent la ville, ce qui lui vaut le surnom de la "Venise du nord". Avec ses 40 ponts et ses maisons typiques, Bruges regorge d'histoires et de légendes. Les touristes sont sous le charme. Derrière cette image de carte postale, il y a aussi la gastronomie. À Bruges, il y a plus de 50 chocolateries. "Les chocolats en Belgique sont les meilleurs chocolats du monde. On utilise du beurre de cacao, mais pas d'autres graisses", explique un chocolatier. La ville est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco.
La France abrite 14 000 pizzerias. Cuite au feu de bois, la pizza est la spécialité de ce restaurant du centre d'Orléans. Quelle que soit la garniture, le tarif est unique à 12,50 euros. Le chef du restaurant a mis en place une carte originale composée de 20 pizzas. Malgré la concurrence des grandes chaines, neuf pizzerias sur 10 sont indépendantes.
Un distributeur à pizzas
Aujourd'hui, 30 pizzerias sont installées à Orléans. La concurrence est rude. En plus de son restaurant, le chef cuisinier Gaëtan Lebeau propose également un distributeur à pizzas. La promesse, une pizza prête en moins de 3 minutes pour 10 euros. La pizza est le produit le plus rentable pour les restaurateurs, mais aussi le plus accessible. "Pas besoin d'une formation très développée pour pouvoir proposer une pizza dans son restaurant", explique au micro de France 2, Nicolas Nouchi, chargé d'études. Et pour se différencier, certains osent même des mélanges surprenants. À Carcassonne, un restaurant a lancé une pizza au cassoulet avec du confit de canard.
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La Pizza en chiffres :
La pizza en chiffres [Francetv info Mis à jour le 18/02/2016 | 15:51, publié le 18/02/2016 | 15:51]
Les Français mangent un milliard de pizzas par an soit 29 pizzas par seconde. Avec 10 kilos par an et par habitant, la France reste le deuxième plus gros consommateur de pizzas au monde. Sur le podium, la France se place juste derrière les États-Unis avec 13 kilos et avant les Italiens qui en consomment 5 kilos par an. La pizza ne détrône pas le traditionnel sandwich, mais elle reste loin devant le burger. Pour un burger acheté, deux pizzas sont dévorées.
La simplicité en tête des ventes
Outre le goût, le prix est aussi responsable de l'attrait des Français pour la pizza. En moyenne, elle coûte 11 euros. Une somme à la portée de toutes les bourses. Les amateurs préfèrent la simplicité. Les pizzas les plus consommées sont les recettes les plus basiques comme la Reine ou la Margherita tomate fromage.
Pour son feuilleton hebdomadaire, France 2 a suivi l'équipe de France des boulangers. Ils tentent de remporter la Coupe du monde organisée en région parisienne. Les Bleus connaissent un problème dans la réalisation de leur pièce artistique. La chaîne de vélo de Claude s'est cassée. Il prend alors du retard pour la réparer. Du cadre au guidon en passant par les câbles de frein, toutes les pièces sont en pâte. L'épreuve se termine dans 10 minutes, l'assemblage est minutieux. La pièce est quasiment achevée, elle doit être garnie avec des 60 viennoiseries salées et sandwichs.
Une note sur l'apparence
Soulagement. La France termine tout juste dans les temps. Claude respire, il semble sortir d'une apnée de 8 heures. Le moment est venu de présenter la production au jury. Les juges observent, sentent et dégustent. Les produits sont notés surtout sur l'apparence, le respect du poids et la texture. Pendant ce temps, l'équipe russe, exclusivement féminine, entre en course. En Russie, il y a 80 % de boulangères. La compétition s'achève. Demain c'est le grand jour : celui du palmarès.
4 heures du matin, la nuit a été courte et c'est le début d'une journée marathon pour l'équipe de France des boulangers. Ils participent à la Coupe du monde de la boulangerie organisée à Paris. C'est aussi l'heure du nettoyage et la compétition débute. Les compétiteurs sont seuls, dans le silence. Ils ont huit heures pour produire les meilleurs pains et les meilleures viennoiseries. Sur un stand voisin, un entraîneur français encourage en chinois son équipe venue de Shanghai.
L'apparence avant la saveur
Thème de l'épreuve artistique : le sport. L'équipe de France a choisi le cyclisme. Déborah est toujours dans le rythme avec ses viennoiseries sous les yeux des Américains qui ont concouru hier. L'un des juges suit de très près le travail de l'équipe de France. Avant même de les goûter, il apprécie le travail des viennoiseries sur leur apparence. Dans cette compétition, ça compte plus que la saveur. Les Chinois ont pris de l'avance avec leur pièce artistique, mais ils ont un problème de verticalité. Tous s'y mettent, la victoire est en jeu. Côté français, Claude commence enfin son installation. Le temps presse, il est fébrile. Opération délicate : poser la chaîne sur le pédalier. Elle se brise, Claude va-t-il réussir à rattraper le temps perdu ?
Barcelone, les touristes à la recherche d'un art de vivre Dans la capitale catalane, les touristes viennent chercher certaines saveurs typiques de l'Espagne.
[Francetv info
Mis à jour le 17/02/2016 | 17:38, publié le 17/02/2016 | 16:31]
Les Ramblas, les deux kilomètres les plus célèbres de Barcelone (Espagne). Au cœur de la cité catalane, il s'agit de l'incontournable passage des touristes et des habitants été comme hiver. Impossible de flâner sans s'arrêter au plus vieux marché de la ville, celui de La Boqueria. Une halle en fer du 19e siècle devenue une véritable cathédrale des sens. 6000m² de fruits et légumes, de poissons et de charcuterie qui aiguisent l'appétit des visiteurs. La légende veut que si on recherche un produit à La Boqueria et qu'on ne le trouve pas c'est qu'il n'existe pas. "Ce bar, c'est ma mère qui l'a ouvert. Je l'ai repris avec ma sœur et là je travaille avec mes neveux et mes petits-neveux", raconte Juanito Bayen, patron du bar "Pinotxo". Et on se presse du monde entier pour déguster ses tapas.
Afflux de touristes record
De Barcelone on connait les images de carte postale, toute une vie en surface. Ce que l'on sait moins c'est que l'on peut aussi se plonger dans les entrailles et dans son histoire. "Nous sommes à 13m de profondeur dans un sous-terrain construit pendant la guerre civile espagnole", décrit la journaliste de France 2. 800 personnes pouvaient se serrer dans ce labyrinthe. Un passé que les Barcelonais sont fiers d'expliquer aux visiteurs étrangers. L'année dernière, la ville a accueilli plus de 7 millions de touristes. Un record !
Pour en savoir plus :
On peut lire un livre Le Bourreau de Gaudí d'ARO SÁINZ DE LA MAZA aux éditions Actes Sud.
Les produits régionaux ont la cote ! Sur le plateau de France 2, Clémence de la Baume présente certaines spécialités qui ont un impact important sur l'économie locale.
Si le cidre vit un véritable renouveau, il n'est pas le seul produit traditionnel régional à avoir un impact économique à l'échelle locale. Ainsi, la filière du comté crée "8 000 emplois directs, producteurs de lait ou encore employés de maison d'affinage. On estime qu'en Franche-Comté, elle est le deuxième employeur privé, derrière Peugeot", note Clémence de la Baume sur le plateau de France 2.
La grande distribution est séduite
Les 4 000 produits régionaux bretons qui affichent le label "Produit en Bretagne" sont également responsables de 60 000 emplois sur le territoire. Les spécialités locales sont de plus ne plus présentes dans la grande distribution : en 2015, la place accordée aux marques de PME a augmenté de 5%, quand celle des grandes marques nationales n'a grimpé que de 2%. "Pour les grandes surfaces, c'est un moyen de se différencier de la concurrence. Et ça marche, puisque les enquêtes d'opinion montrent que plus d'un consommateur sur deux préfère acheter un produit local", complète la journaliste.
Cette boisson traditionnelle, souvent servie avec des galettes, a su se réinventer pour revenir au goût du jour. Vu au JOURNAL TELEVISE 13h du 17/02/2016.
À Saint-Malo, à l'heure où certains rentrent au port, d'autres se donnent rendez-vous dans un bar à cidre. Ici, on trouve 60 cuvées sur la carte. La patronne est sommelière, elle a choisi chaque cidre comme elle aurait composé une carte des vins. "On n'est plus dans le standardisé, dans le pasteurisé, (on va) chez des producteurs qui ont des cidres tanniques, des cidres minéraux, on va avoir des cidres qui ressemblent au vin blanc avec des élevages en barrique...", détaille-t-elle au micro de France 2.
Des produits d'exception
Brut, demi-sec ou doux, les cidres proposés ici viennent de Bretagne ou de Normandie, mais aussi de l'est de la France ou du pays basque. Les prix vont de 12 à 18 euros la bouteille, un prix justifié par le savoir-faire et la qualité des ingrédients. Au domaine de Kerguelen (Finistère), Éric Baron a choisi de produire un cidre d'exception, avec des pommes bio cueillies à maturité, et une fermentation du jus pressé dans une cave où les différentes variétés sont stockées dans des fûts.
Feuilleton de cette semaine, les journalistes de France 2 suivent l'équipe de France des boulangers en pleine Coupe du monde. Le championnat du monde de la baguette 2/5
Lors de la Coupe du monde de la boulangerie, organisée à Paris, les différentes équipes sont jugées sur la réalisation de pains, de viennoiseries ainsi que sur une pièce artistique. La compétition exige un entraînement intensif. L'équipe hollandaise ouvre la compétition à huit heures pour réaliser plus de 300 produits. Une viennoiserie surprise doit être réalisée avec des ingrédients tirés au sort. "Comme un long marathon" "Il ne faut rien lâché c'est comme un long marathon. Les cinq derniers kilomètres sont les plus durs", commente de son côté l'entraîneur américain. À la fin, le rythme s'accélère. Il faut peaufiner les œuvres. Les Hollandais ont terminé juste dans le temps. C'est maintenant à l'équipe de France d'entrer dans la course. Elle a deux heures pour préparer les pâtes. Ensuite viendra l'heure de l'épreuve finale.
Pour son feuilleton hebdomadaire, France 2 a suivi l'équipe de France des boulangers à l'occasion de la Coupe du monde de la boulangerie. Les meilleurs boulangers sélectionnés sur les cinq continents rivalisent de talent et de vélocité pour produire du pain, des viennoiseries ainsi que des pièces artistiques. L'apparence autant que le goût Dans cette compétition par équipe, l'apparence compte autant sinon plus que le goût lui-même. Les Français ont pour tâche de ramener sur le podium le pays de la baguette qui en a été écarté il y a quatre ans. Déborah, boulangère dans la région de Strasbourg (Alsace) prépare la Coupe du monde depuis trois ans. Mais la concurrence s'annonce rude. Mieux vaut ne pas se louper. Les Hollandais comptent bien s'imposer devant les Français. Ils vont d'ailleurs ouvrir le concours à Paris.
Comme tous les ans maintenant, quelques grands chefs, offrent un échantillon de leurs savoirs aux visiteurs de cet événement.
Du 11 au 14 février, ce sont 18 chefs qui dresseront leurs « pop up » restaurants sous la Nef du Grand Palais. De la table trois étoiles aux jeunes talents, Taste of Paris saison II réunira l’excellence de la scène gastronomique parisienne mais aussi producteurs et artisans. Un Festival pointu et réjouissant avec plus de 24 000 festivaliers attendus cette année.
Un casting alléchant Sous la verrière du Grand Palais, la gastronomie française s’affiche en pleine lumière. Au casting des cuisiniers multi étoilés : Alain Ducasse et Romain Meder (Alain Ducasse au Plaza Athénée) Guy Savoy (Guy Savoy),Thierry Marx (Mandarin Oriental), Frédéric Anton (le Pré Catelan) ; la jeune génération prête à prendre la relève : Stéphanie Le Quellec (La Scène - Prince de Galles), Pierre Sang Boyer (Pierre Sang on Gambey), Julien Dumas (chef exécutif du Lucas Carton), Juan Arbelaez (Plantxa), Thibault Sombardier (Antoine) ; des Japonais disciples de la cuisine française : Kei Kobayashi (Kei), Riuji Teshima (Pages) ; des talents à suivre de très près comme Rafael Gomes (chef exécutif de Mauro Colagreco à Grand Coeur) et Nicolas Beaumann (Maison Rostang) ; la cuisine d’auteur de Sébastien Gravé (Pottoka) et Hervé Rodriguez (MaSa) ou encore le chef pâtissier Yann Couvreur.
Toujours plus de chefs Pour cette 2e édition, ce sont donc 18 chefs qui ont répondu présent pour faire découvrir leurs plats au grand public, petits et grands, dès le jeudi 11 février au soir. Ouvert comme un restaurant avec une session déjeuner - 11h30 à 16h00 – et une session dîner - 19h00 à 23h30 - Taste of Paris 2016 proposera plus de 60 plats signature et des créations inédites réalisés par les chefs, pour composer son menu selon ses envies. Dans une ambiance festive de marché gourmand, les stars de la cuisine hexagonale mettront les grands plats dans les petits, en toute simplicité. Entrée, plat et dessert en bouchées de 5 € à 12 €, ce sera l’occasion unique d’aller à la rencontre des chefs au comptoir de leurs «pop up » restaurants dressés sous la Nef, sans se soucier de réserver ni du nombre de convives. Ici, pas besoin d’attendre pour avoir une table, les tables viennent à vous !
Un festival de goûts Taste of Paris, c’est aussi une centaine d’artisans et producteurs exigeants venus présenter et faire déguster leur terroir (confitures, cidres, caviar, poutargue, saumon fumé, huiles d’olive, vins de Bourgogne…). Un espace leur sera dédié avec une sélection très pointue orchestrée par le Collège Culinaire de France. Et qui dit Festival dit spectacle. Ce sera donc show devant sur les deux espaces Electrolux de Taste of Paris 2016 : atelier de cuisine pour percer les « Secrets de Chefs » et performances gastronomiques au « Théâtre des Chefs » où les chefs réaliseront un duo avec leur producteur favori. Au centre, le bar Laurent-Perrier proposera ses plus belles cuvées pour des accords effervescents. L’interactivité entre le public et les chefs sera au cœur de cette 2e édition avec un programme de festivités qui favorisera les échanges et le jeu à travers de nombreuses animations proposées tout au long des sessions.
Food amour Fêter la Saint-Valentin à deux, et pourquoi pas à plusieurs au Grand Palais le dernier jour de Taste of Paris ? Sous la verrière, le dimanche 14 février sera aussi un grand moment de convivialité pour tous et où chacun pourra déclarer son amour pour la gastronomie.
Des pass pour toutes les envies Pour que la fête soit plus belle, les formules se sont adaptées aux besoins et aux envies de chacun avec un prix d’entrée pour le billet Découverte à 15 € le midi et 18 € le soir. Les plus enthousiastes pourront acheter directement le pass Gourmet à 45 € comprenant 35 € de crédits à dépenser auprès des restaurants et des bars. Le pass Premium à 138 € comprend quant à lui une entrée coupe-file, un accès privatif à l’open bar Champagne Laurent-Perrier et 45 € de crédits.
Un festival 2.0 L’achat des plats et des boissons se fera grâce à un système de carte prépayée qui sera débitée à chaque passage sur un restaurant ou un bar, tous équipés d’un terminal. Les cartes pourront être préachetées via les points de ventes habituels de billetterie et récupérées sur le festival ou achetées et rechargées sur place. L’achat de produits auprès des artisans se fera directement.
Né pour durer Taste of Paris est l’un des derniers nés des Taste Festivals créés à Londres en 2004. La 2e édition parisienne s’inscrit dans un programme de 23 dates en 2016, de Toronto à Londres, en passant par Moscou, Abu Dhabi, Melbourne ou Auckland. Au total, sur toute la planète, 490 000 visiteurs Taste devraient dévorer 1,47 millions de plats.
HORAIRES : 11 Février 2016 - 14 Février 2016 Du jeudi 11 (soir) au dimanche 14 février Grand Palais, 3 avenue du Général Eisenhower 75008 Paris Session déjeuner de 11h30 à 16h00 Session dîner de 19h00 à 23h30 TARIFS : Session déjeuner de 11h30 à 16h00 - 15 € Session dîner de 19h00 à 23h30 - 18 € Plats entre 5 € et 12 € Pass « Gourmet » 45 € (35€ de crédits inclus) Pass Spécial Fêtes « Gourmet » 40 € (avec 35 € de crédits inclus) – valable jusqu’au 31 décembre 2015 Pass « Premium » 138 € (coupe-file, accès open bar Champagne Laurent-Perrier et 45 € de crédits inclus) Animations « Théâtre des Chefs » et « Secret des Chefs » gratuites Inscriptions pour le « Secret des Chefs » sur place à chaque début de session Plus d'informations sur www.tasteofparis.com Réservez votre billet Session déjeuner de 11h30 à 16h00 - 15 € Session dîner de 19h00 à 23h30 - 18 € Plats entre 5 € et 12 € Pass « Gourmet » 45 € (35€ de crédits inclus) Pass Spécial Fêtes « Gourmet » 40 € (avec 35 € de crédits inclus) – valable jusqu’au 31 décembre 2015 Pass « Premium » 138 € (coupe-file, accès open bar Champagne Laurent-Perrier et 45 € de crédits inclus) Animations « Théâtre des Chefs » et « Secret des Chefs » gratuites Inscriptions pour le « Secret des Chefs » sur place à chaque début de session
Les crêpes de la "Chandeleur" ! Une émission de la chaîne ARTE, va tenter de nous faire revivre l'histoire de la crêpe. Depuis combien de temps consomme-t-on ce mélange de farine et de liquide qui a donné une pâte qui, cuite sur le feu, donne une sorte de galette ? Dans la question vous avez la réponse, en somme. Il a fallu savoir faire de la farine avec des céréales, d'une pat, avoir découvert le feu d'autre part, et utiliser la terre, l'eau, pour en faire des objets de cuisson. DE L'ART ET DU COCHON Les crêpes de Pieter Aertsen (26 min)
Alexandre Bourdas - Les crêpes de Pieter Aertsen
Autour du tableau Les crêpes, peint en 1560 par le Flamand précurseur de la nature morte, Pieter Aertsen, des historiens de l'art et de la gastronomie dissertent avec passion des rites liés à la crêpe, dont les origines sont mal connues. Le chef Alexandre Bourdas prépare la pascade, une crêpe soufflée servie durant les fêtes de Pâques dans l'Aveyron, sa patrie d'origine. À Cancale, il est initié à la fameuse galette de sarrasin bretonne. Comme dans la toile, ces crêpes d'exception se dégustent avec un verre de cidre.
Rediffusion samedi 13.02 à 5h00 DÉTAILS SÉRIE DOCUMENTAIRE
Pays : France Année : 2014 Disponible en direct : oui Son : Stereo Image : HD, 16/9 Arte+7: 07.02-15.02.2016 Générique Réalisation: Franck Gombert Rediffusion :
sam 13.02 à 5h00 Pour en savoir plus : Sur le site Wikipédia, on trouvera des renseignements intéressants sur les origines, et les pays où l'on consomme toujours des crêpes. Il y en a tellement, que je préfère vous inciter à visiter cette page où vous trouverez également des références de lectures et de recettes.https://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%AApe
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2 février, l'histoire de la Chandeleur par Franck Ferrand : Sur Europe 1 :
Liste des ingrédients 200g de farine - 3 œufs - un demi-litre de lait - 1 pincée de sel - 50 grammes de beurre -1 sachet de sucre vanillé -1 cuillère à soupe de rhum (5 cl +ou-)
La poêle en tôle de fer de Buyer, c'est une autre conception de la poêle. Pour moi, c'est même LA poêle idéale. Depuis des années, je n'utilise plus que cela, non seulement pour les crêpes mais aussi au quotidien pour la cuisson des galettes, viandes, omelettes et poêlées de légumes.